DEMONIAQUE
Il parle mais ses mots glissent,
Comme sa main, qui se faufile,
Dans les contours de mon corps,
Réveillant mes sens, plus fort.
Il rit, dans un sourire complice,
Mais sa bouche est un délice,
Où je désire m’abreuver,
Sans en être rassasiée.
Il murmure, dans la nuit,
Des mots fous, qui jaillissent,
Comme un volcan survolté,
Qu’on empêche de se calmer.
Dans ses yeux d’un vert étrange,
Un ange blond, sur lui, se penche,
Observant, dans un sanglot,
Un monde, soudain, plus beau.
Il a la perversité du Diable
Quand d’une douceur admirable,
Il me cajole, d’un regard amoureux,
M’entraînant dans ses jeux audacieux.
Marie51
Il parle mais ses mots glissent,
Comme sa main, qui se faufile,
Dans les contours de mon corps,
Réveillant mes sens, plus fort.
Il rit, dans un sourire complice,
Mais sa bouche est un délice,
Où je désire m’abreuver,
Sans en être rassasiée.
Il murmure, dans la nuit,
Des mots fous, qui jaillissent,
Comme un volcan survolté,
Qu’on empêche de se calmer.
Dans ses yeux d’un vert étrange,
Un ange blond, sur lui, se penche,
Observant, dans un sanglot,
Un monde, soudain, plus beau.
Il a la perversité du Diable
Quand d’une douceur admirable,
Il me cajole, d’un regard amoureux,
M’entraînant dans ses jeux audacieux.
Marie51